Le SPARTACO's Jazz Band

Saillé, le 15 mars 2014

Nous l'avions déjà prophétisé le 16 novembre dernier dans ce blog, Il avait pourtant juré qu'on ne l'y prendrait plus, Jean-Luc MERLET a remis cela : la batterie de jazz. Et c'est arrivé hier soir, à La Janais.

 Le SPARTACO's était en vacance ponctuelle de batteur hier soir. J'ai invité - en insistant très fort - Jean-Luc à reprendre les balais pour un galop d'essai : il a craqué. Une fois encore, on en a la preuve, de toute façon, la batterie, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas...! Un peu hésitant au début, il lui faudrait retravailler un peu les 3-4 et les bossas... Mais Jean-Luc a repris très vite de l'assurance pour les swings.

Alors ces deux heures de répétition furent un bon moment. Et le SPARTACO's est très heureux d'être l'initiateur... de cette rechute.

 Comme nous l'avons évoqué, Jean-Luc MERLET, célébrité locale bauloise, est bien connu pour ses multiples facettes, Il fut d'abord le batteur de José ANDRY, le frère de Spartaco ANDREOLI, dans le milieu des années 70. Sans lâcher son travail aux Chantiers Navals de St-Nazaire, il assurait la batterie de cet orchestre qui travaillait de La Baule, en passant par Nantes jusqu'à jusqu'à St-Malo voire Deauville. Le fond de commerce des contrats tournait autour des animations du groupe Barrière et des Salons Mauduit.

Il a quitté les Chantiers après le décès de José ANDRY pour reprendre la pizzeria "La Cantina", avenue de Gaulle à la Baule. Puis il a rejoint St-Malo pour tenir une  Maison de La Presse. Pour revenir à La Baule quelques années plus tard prendre la plume de correspondant local pour Ouest-France.

C'est là qu'il a publié l'article déjà évoqué sur Spartaco ANDREOLI , et qui me fit connaître ce dernier.

Aujourd'hui, Jean-Luc MERLET est devenu écrivain de romans policiers. Avec un peu de succés.

Cordialement

François Guihéneuf

Jean Luc, très concentré sur son chabada...